J'ai presque cent ans, et je n'ai pas d'ennemis... ils sont tous morts.
Explication de cette citation :
Cette citation de Bernard Fontenelle reflète la sagesse et la maturité d'un homme âgé qui a réussi à vivre sa vie sans avoir de rancœur envers ses ennemis. Le temps a fait son œuvre et ses ennemis sont tous morts, laissant le protagoniste avec une paix intérieure et la certitude d'avoir mené une vie sans animosité.
Cette citation peut être tirée de plusieurs de ses œuvres, notamment de son dialogue philosophique "Entretien sur la pluralité des mondes".
A propos de l'auteur
Qui est Bernard Fontenelle ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Bernard Fontenelle est un écrivain et philosophe français du XVIIème siècle. Né en 1657 à Rouen, il est issu d'une famille de magistrats. Après des études de droit, il se passionne pour les sciences et la philosophie. Son oeuvre, qui comprend des essais, des dialogues philosophiques et des traités scientifiques, est marquée par son talent pour la clarté et la simplicité du style. Dans cette page, nous vous proposons une plongée au cœur de l'œuvre de Bernard Fontenelle, à travers sa biographie, ses réflexions et ses citations emblématiques. Découvrons ensemble le parcours d'un écrivain majeur de l'époque classique, dont les idées ont encore une résonance aujourd'hui. Nous vous invitons à vous laisser guider par la plume brillante de ce penseur hors pair.
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Cette citation de Bernard Fontenelle : J'ai presque cent ans, et je n'ai pas d'ennemis... ils sont tous morts
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Bernard Fontenelle.
- L'amour est le plus matinal de nos sentiments.
- Le grand obstacle au bonheur, c'est de s'attendre à un trop grand bonheur.
- Une circonstance imaginaire qu'il nous plaît d'ajouter à nos afflictions, c'est de croire que nous serons inconsolables.
- Tous les hommes se ressemblent si fort qu'il n'y a point de peuple dont les sottises ne doivent nous faire trembler.
- Il est temps que je m'en aille ! Je commence à voir les choses telles qu'elles sont.
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