S'il faut choisir un crucifié, la foule sauve toujours barabbas.
Explication de cette citation :
Cette citation de Jean Cocteau souligne la propension de la foule à choisir le chemin facile et la facilité plutôt que de faire face à des choix moralement difficiles et à assumer des responsabilités. Elle vient de la pièce de théâtre "Les Parents terribles" écrite en 1938. Dans cette œuvre,
cette phrase est prononcée par l'un des personnages et symbolise la lâcheté et le conformisme de la société. Elle peut également être interprétée de manière plus générale comme une critique de la nature humaine qui préfère souvent lâcher prise et se rallier à la majorité plutôt que de prendre des décisions courageuses et moralement justes.
A propos de l'auteur
Qui est Jean COCTEAU ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean Cocteau, né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte et mort le 11 octobre 1963 dans sa maison de Milly-la-Forêt, est un poète, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste français. Il est élu à l'Académie française en 1955. Comptant parmi les artistes qui ont marqué le xxe siècle, il a côtoyé la plupart de ceux qui ont animé la vie artistique de son époque.
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Cette citation de Jean COCTEAU : S'il faut choisir un crucifié, la foule sauve toujours barabbas
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jean COCTEAU.
- Mieux vaut donner à un faux pauvre que refuser son assistance à un vrai.
- Les critiques jugent les oeuvres et ne savent pas qu'ils sont jugées par elles.
- Une oeuvre d'art doit satisfaire toutes les muses. c'est ce que j'appelle la preuve par neuf.
- La source désapprouve presque toujours l'itinéraire du fleuve.
- Il n'y a pas de précurseurs, il n'y a que des retardataires.
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