Une chose folle, et qui découvre bien notre petitesse, c'est l'assujetissement aux modes.
Explication de cette citation :
Cette citation de Jean de La Bruyère souligne la absurdité de notre attachement aux tendances et à la mode en tant que preuve de notre insignifiance en tant qu'individus.
Elle est tirée de son œuvre "Les Caractères" publiée en 1688, où l'auteur critique la vanité et la superficialité de la société française de son époque. La Bruyère met en évidence la futilité de se conformer à des modes éphémères plutôt que de cultiver des valeurs et des qualités personnelles. Ainsi, selon lui, l'assujettissement aux modes est une véritable manifestation de notre propre petitesse en tant qu'êtres humains.
A propos de l'auteur
Qui est Jean de La Bruyère ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean de La Bruyère est un écrivain et moraliste français du XVIIe siècle, connu pour son oeuvre majeure "Les Caractères". Né en 1645 à Paris, il fut d'abord avocat avant de se consacrer pleinement à l'écriture. Dans cette page, nous allons plonger dans l'univers de cet auteur talentueux, en explorant sa biographie, son oeuvre et en mettant en lumière ses citations les plus marquantes. De son parcours de vie à son impact sur la littérature française, nous découvrirons ensemble toutes les facettes de Jean de La Bruyère.
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Cette citation de Jean de La Bruyère : Une chose folle, et qui découvre bien notre petitesse, c'est l'assujetissement aux modes
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jean de La Bruyère.
- Une longue maladie semble être placée entre la vie et la mort, afin que la mort même devienne un soulagement et à ceux qui meurent et à ceux qui restent.
- Ne songer qu'à soi et au présent, source d'erreur dans la politique.
- Ah ! Combien de testateurs regretteraient en mourant et leur vie et leurs biens, s'ils pouvaient voir après leur mort les figures de leurs héritiers.
- Il ne faut ni vigueur, ni jeunesse, ni santé pour être avare.
- La vie est une tragédie pour celui qui sent et une comédie pour celui qui pense.
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