Madame de Sévigné

Pour juger combien nous importunons en parlant de nous, il faut songer combien les autres nous importunent quand ils parlent d'eux.

Explication de cette citation :

Cette citation de Madame de Sévigné met en évidence la nature égoïste des êtres humains, qui ont tendance à monopoliser la conversation en parlant uniquement d'eux-mêmes. Elle souligne également l'importance de l'écoute et de l'intérêt pour les autres, qui peuvent être aussi agacés que nous lorsque nous parlons uniquement de nous.

Cette citation est extraite de la correspondance de Madame de Sévigné, une célèbre épistolière française du XVIIe siècle.

A propos de l'auteur

Qui est Madame de Sévigné ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Rabutin-Chantal, la marquise, ou Madame de Sévigné est née le 05 février 1626 à Paris. C'est une femme de lettres française du 17ème siècle. Elle devient orpheline de père à un an et perd sa mère quand elle a sept ans.

Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.

D'autres citations de Madame de Sévigné

Cette citation de Madame de Sévigné : Pour juger combien nous importunons en parlant de nous, il faut songer combien les autres nous importunent quand ils parlent d'eux , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Madame de Sévigné.

Partager cette citation :

Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Madame de Sévigné que vous pouvez facilement télécharger ou publier directement sur vos réseaux sociaux préférés tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest.

Citations similaires :

Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Madame de Sévigné (Pour juger combien nous importunons en parlant de nous, il faut songer combien les autres nous importunent quand ils parlent d'eux.).