Explication de cette citation :
Cette citation de l'écrivain ougandais Moses Isegawa souligne que les conséquences d'une guerre peuvent être plus dévastatrices pendant la période de reconstruction et de transition que pendant la guerre elle-même. Les tensions et les conflits peuvent persister et s'intensifier dans les premières semaines qui suivent une guerre, alors que les ressources sont épuisées et que les bases de la paix et de la stabilité doivent encore être posées.
Cette citation peut être tirée de son roman "Abyssinian Chronicles" qui raconte l'histoire d'un jeune homme confronté à la brutalité de la guerre civile en Ouganda dans les années 1970 et 1980.
A propos de l'auteur
Qui est Moses Isegawa ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Moses Isegawa est un écrivain d'origine ougandaise, né en 1963 à Kiganda. Son œuvre, empreinte d'une profonde réflexion sur l'histoire et la société de son pays natal, est dotée d'une force évocatrice qui ne laisse pas indifférent. À travers ses romans, il dépeint avec brio les complexités et les mutations de la société ougandaise, oscillant entre traditions et modernité, et met en lumière les conflits, les injustices et les bouleversements politiques qui ont marqué son pays. Plongez dans l'univers passionnant de cet auteur talentueux à travers sa biographie, ses œuvres marquantes et ses citations percutantes, et découvrez comment son style unique et captivant captive les lecteurs à travers le monde.
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D'autres citations de Moses Isegawa
Cette citation de Moses Isegawa : La première semaine après une guerre est plus dangereuse que les dernières semaines de la guerre elle-même
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Moses Isegawa.
- Les citadins ne diffèrent guère des villageois. Ils adorent tous les ragots, à cette différence près que les derniers en consomment des timbales pleines tandis que les premiers les sirotent dans des dés à coudre.
- Ce n'est pas la mort qui effraie, mais la douleur qui la précède.
- Le feu a quelque chose de spirituel, c'est un élément qui distille l'essentiel du passé.
- Lorsque les armes se taisent, leur bruit est remplacé par les lamentations des morts, relayées par les soupirs des survivants.
- L'aventure a pour moi, le même attrait qu'un réverbère pour un papillon de nuit suicidaire par une froide nuit d'hiver.
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