Quand on épluche des oignons, il faut en même temps penser à quelqu'un qu'on aime bien et qui est mort, sans quoi ce sont des larmes perdues.
Explication de cette citation :
Cette citation de François Cavanna souligne l'importance de la mémoire et de la nostalgie dans nos moments de tristesse. Elle nous rappelle que même dans les moments les plus difficiles, il est important de se rattacher à des souvenirs et des personnes qui nous ont marqués positivement.
Cette phrase est extraite de son roman "Les Ritals", paru en 1978, dans lequel l'auteur raconte son enfance d'immigré italien en France.
Cette citation résonne donc particulièrement avec le thème de l'exil et de la perte dans ce roman.
A propos de l'auteur
Qui est François CAVANNA ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. François CAVANNA est un auteur français hors du commun, connu pour ses multiples talents dans le domaine de l'écriture et de la satire. Né en 1923 en Argentine, il a immigré à l'âge de 12 ans en France où il a alors commencé à écrire. Tout au long de sa vie, il s'est investi dans de nombreux projets littéraires qui ont marqué l'univers de la littérature et de l'humour. Dans cette page, nous vous proposons de découvrir la vie et l'œuvre de cet artiste atypique, à travers une biographie détaillée, ses œuvres marquantes et les citations les plus célèbres de François CAVANNA. Plongez-vous dans l'univers insolite de cet auteur incontournable et laissez-vous emporter par son humour unique et ses mots savamment choisis.
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- Notre civilisation : une jolie fille, pomponnée et maquillée, assise sur un tas de merde.
- Les Américains adorent les huîtres. Avant de les manger, ils ôtent soigneusement les sales bêtes gluantes qu'il y a à l'intérieur.
- Le fermier qui aura réussi à croiser une dinde avec un kangourou aura créé la première volaille que l'on puisse farcir de l'extérieur.
- Au commencement, Dieu ne savait pas qu'Il était Dieu, puisqu'Il était tout seul. Pour savoir qu'on est Dieu, il faut être deux : un qui est Dieu, et l'autre qui lui dit : "Mon Dieu".
- Quand on épluche des oignons, il faut en même temps penser à quelqu'un qu'on aime bien et qui est mort, sans quoi ce sont des larmes perdues.
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