Je me défie de la machine qui est en moi.
Explication de cette citation :
Cette citation de Georges DUHAMEL suggère que l'auteur est conscient de sa propension à agir de manière automatique, sans réflexion ni prise de conscience. Il met en garde contre cette "machine" intérieure qui peut nous pousser à agir de manière irréfléchie et mécanique, au lieu de faire preuve de libre-arbitre et de conscience.
Cette citation est extraite du roman "Civilisation" publié en 1931 par Georges DUHAMEL, dans lequel l'auteur explore le thème de la machine et de son impact sur la société et l'individu.
A propos de l'auteur
Qui est Georges DUHAMEL ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Georges DUHAMEL est un écrivain français du XXe siècle, connu pour ses romans, essais et poèmes qui ont marqué la littérature française. En tant que membre de l'Académie Française, il a laissé une empreinte durable dans le monde de la littérature grâce à son style unique et ses réflexions profondes sur l'humanité. Cette page est dédiée à son parcours et à son œuvre, en mettant en avant ses principales citations qui ont inspiré des générations de lecteurs. Plongez dans l'univers de Georges DUHAMEL et découvrez les différentes facettes de sa vie à travers sa biographie, ses œuvres majeures et ses pensées marquantes. De Si le grain ne meurt à Chronique des Pasquier, en passant par ses poèmes, cette page explore le talent et la sensibilité littéraire de cet écrivain incontournable.
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D'autres citations de Georges DUHAMEL
Cette citation de Georges DUHAMEL : Je me défie de la machine qui est en moi
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Georges DUHAMEL.
- Le but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires et dans ses défaites. admiration et pitié, telle est la devise du roman.
- Si la civilisation n'est pas dans le coeur de l'homme, eh bien ! elle n'est nulle part.
- Le christ a parlé comme si le monde n'était composé que de bons et de méchants ; il a oublié les imbéciles.
- Les morts n'ont pas de voix, heureusement. si les morts pouvaient se plaindre, quel cri, quelle clameur. on ne s'entendrait plus vivre.
- J'aime encore mieux l'enfer que le néant. l'enfer c'est la vie qui dure.
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