Explication de cette citation :
Cette citation de Rivarol met en avant la différence de perception et de compréhension entre les hommes de lettres, qui sont plongés dans l'étude et la contemplation de la nature, et les gens du monde, qui sont davantage préoccupés par les plaisirs et les affaires matérielles. La nature est plus prolixe et révèle ses secrets aux esprits cultivés, tandis qu'elle reste mystérieuse et inaccessible pour les autres.
Cette citation est tirée du discours de Rivarol à l'Académie française en 1785, où il évoque la supériorité de l'éducation et de la culture face au matérialisme ambiant.
A propos de l'auteur
Qui est Rivarol ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Rivarol : un écrivain et philosophe français au talent inégalable Rivarol, de son vrai nom Antoine de Rivarol, est un écrivain, philosophe et linguiste français du 18ème siècle. Né en 1753 à Bagnols-sur-Cèze, il est connu pour ses œuvres littéraires et ses réflexions philosophiques qui ont marqué son époque et façonné une partie du paysage intellectuel français. Ses écrits ont également inspiré de nombreux écrivains et penseurs ultérieurs. Dans cette page, nous allons plonger dans l'univers fascinant de Rivarol en explorant sa vie, son œuvre et en mettant en lumière ses citations les plus marquantes. Accompagnez-nous dans ce voyage à travers le temps pour découvrir l'héritage intemporel de cet écrivain hors du commun.
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D'autres citations de Rivarol
Cette citation de Rivarol : La nature tonne à l'oreille des hommes de lettres, quand elle murmure à peine à celle des gens du monde
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Rivarol.
- Nous avons tous assez de force en nous pour supporter le malheur des autres, mais nous n'en avons peut-être pas autant pour supporter leur bonheur.
- Je ris deux fois d'un bon mot, d'abord de la manière dont je l'entends, et ensuite de la manière dont celui qui me l'a dit l'explique.
- Il n'est pas besoin de passer devant les objets quand les objets passent devant nous : aussi les habitants des grandes villes ne croient pas avoir besoin de voyager.
- On passe la moitié de sa vie à retenir sans comprendre, et l'autre moitié à comprendre sans retenir.
- Ces mots ont dépassé ma pensée... ils n'ont pas dû aller bien loin.
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