J'aime assez les beaux diamants, mais j'ai horreur des pendeloques qui me montrent une femme portant à une oreille le pain de ses enfants et à l'autre l'honneur de son mari.
Explication de cette citation :
Cette citation d'Alphonse Karr illustre l'opposition entre la superficialité des bijoux et le véritable sens des valeurs familiales et conjugales. L'auteur exprime son rejet des parures qui mettent en avant la richesse et l'apparence, au détriment des responsabilités et des liens forts avec ses proches.
Cette citation est extraite de l'oeuvre "Les Femmes" publiée en 1853, dans laquelle Karr décrit avec humour et cynisme les comportements féminins de son époque.
A propos de l'auteur
Qui est Alphonse Karr ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean Baptiste Alphonse Karr est un romancier et journaliste français, né à Paris d'un père allemand et d'une mère française, le 24 novembre 1808. Il fait de brillantes études à Paris et dès ses vingt ans, il se consacre à l'enseignement et devient professeur suppléant. Il abandonne très vite cette fonction pour se consacrer à sa passion, la poésie.
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- Les serments qu'échangent deux amants sont aussi raisonnables que le seraient ceux qu'échangeraient un gigot et l'homme qui l'entame.
- L'homme est comme une horloge. Il se remonte par la nourriture deux ou trois fois par jour.
- L'avantage du célibataire sur l'homme marié, c'est qu'il peut toujours cesser de l'être s'il trouve qu'il s'est trompé.
- Tant de gens échangent volontiers l'honneur contre les honneurs.
- L'amitié n'existe pas plus entre deux femmes qu'entre deux épiciers domiciliés en face l'un de l'autre.
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