Quand que je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'académie française.
Explication de cette citation :
Dans cette citation, Georges Bernanos met en lumière l'importance de l'esprit critique et de la réflexion dans la vie. Il dénonce le conformisme ambiant et l'absence de pensée véritable au sein de l'Académie française, institution censée pourtant représenter l'excellence intellectuelle.
Cette citation est tirée du roman "Monsieur Ouine" publié en 1943, où l'auteur explore les dérives de la société française de l'entre-deux guerres.
A propos de l'auteur
Qui est Georges BERNANOS ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Georges Bernanos est souvent considéré comme l'un des grands écrivains français du XXe siècle. Né en 1888 à Paris, il a mené une vie tumultueuse, marquée par des engagements politiques et religieux forts. C'est à travers ses romans, ses essais et ses pièces de théâtre qu'il a exprimé sa vision du monde, empreinte d'une profonde humanité et d'un questionnement constant sur les valeurs morales et spirituelles. Dans cette page, nous allons explorer la vie et l'oeuvre de cet auteur singulier, en mettant en lumière certaines des citations les plus marquantes qu'il a laissées derrière lui. Que vous soyez déjà familier avec Georges Bernanos ou que vous souhaitiez découvrir cet écrivain majeur de la littérature française, vous trouverez ici de quoi approfondir votre connaissance de son oeuvre et de sa pensée.
Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.
D'autres citations de Georges BERNANOS
Cette citation de Georges BERNANOS : Quand que je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'académie française
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Georges BERNANOS.
- Foi : vingt-quatre heures de doute... mais une minute d'espérance.
- Le diable, voyez-vous, c'est l'ami qui ne reste jamais jusqu'au bout.
- Le désespoir est la charité de l'enfer. il sait tout, il veut tout, il peut tout.
- Il est très difficile de se mépriser sans offenser dieu en nous.
- Le monde moderne n'a pas le temps d'espérer, ni d'aimer, ni de rêver.
Citations similaires :
Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Georges BERNANOS (Quand que je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'académie française. ).