Trop de parenté, ça rend parfois orphelin.
Explication de cette citation :
Cette citation de Jacques Ferron met en lumière le fait que l'excès de liens familiaux peut parfois aboutir à un sentiment d'abandon et de solitude. En créant des attentes et des obligations trop élevées, la parenté peut entraîner une certaine déception, voire une rupture, laissant l'individu se sentir comme un orphelin au sein même de sa propre famille.
Cette citation pourrait être tirée du recueil de nouvelles "Contes populaires" de Jacques Ferron où il aborde, entre autres, les thèmes des relations familiales complexes et parfois néfastes.
A propos de l'auteur
Qui est Jacques Ferron ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jacques Ferron, un auteur québécois incontournable du XXe siècle Jacques Ferron est un médecin, écrivain et poète québécois né en 1921 à Québec. Il est considéré comme l'un des plus grands auteurs québécois du XXe siècle grâce à son style d'écriture unique mêlant humour, satire et poésie. Au cours de sa vie, il a écrit plusieurs romans, nouvelles et poèmes, et a également utilisé sa profession de médecin pour explorer des sujets tels que la santé et la médecine dans son oeuvre littéraire. Dans cette page, nous allons découvrir la biographie fascinante de Jacques Ferron, ainsi que son oeuvre prolifique et les citations qui ont marqué son passage dans le monde de la littérature québécoise.
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, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jacques Ferron.
- Ce qu'on désapprend des autres, on le réapprend aussitôt par soi-même et l'on n'a plus à se donner de mal pour le retenir : on le possède.
- La langue est pour moitié un miroir, pour moitié un grimoire, elle est ombre et clarté et il faut l'accepter dans sa dichotomie sous peine de n'y rien voir faute de contrastes.
- Entre hommes d'honneur la complicité est comme l'amitié ; elle demande une longue préparation.
- S'il fallait se fier à ses poèmes pour savoir ce qu'un poète pense, on se ferait de drôles d'illusions.
- L'éternel n'est que l'infini de l'instant. Dieu se rejoint dans le quotidien ; sa présence ne saurait se trouver ailleurs. Et même si c'était absurde, il faudrait être humain.
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