Explication de cette citation :
Cette citation de l'écrivain ougandais Moses Isegawa met en avant le concept de liberté individuelle et de responsabilité dans la vie. Elle suggère que chacun a le droit de faire ses propres choix et de vivre selon ces derniers, mais que lorsque la vie prend fin, il est important d'accepter les conséquences de nos actions et de ne pas se plaindre du prix que nous avons payé.
Cette citation souligne le pouvoir de l'acceptation et la nécessité d'assumer les conséquences de nos décisions. Il est important de noter qu'elle provient du roman "Abessijnse kronieken" (Les chroniques abessines) de Moses Isegawa, publié en 2000.
A propos de l'auteur
Qui est Moses Isegawa ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Moses Isegawa est un écrivain d'origine ougandaise, né en 1963 à Kiganda. Son œuvre, empreinte d'une profonde réflexion sur l'histoire et la société de son pays natal, est dotée d'une force évocatrice qui ne laisse pas indifférent. À travers ses romans, il dépeint avec brio les complexités et les mutations de la société ougandaise, oscillant entre traditions et modernité, et met en lumière les conflits, les injustices et les bouleversements politiques qui ont marqué son pays. Plongez dans l'univers passionnant de cet auteur talentueux à travers sa biographie, ses œuvres marquantes et ses citations percutantes, et découvrez comment son style unique et captivant captive les lecteurs à travers le monde.
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D'autres citations de Moses Isegawa
Cette citation de Moses Isegawa : Fais ce qu'il te plaît dans la vie, mais quand elle s'arrête, il faut accepter et ne pas te plaindre du prix que tu as payé
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Moses Isegawa.
- Lorsque les armes se taisent, leur bruit est remplacé par les lamentations des morts, relayées par les soupirs des survivants.
- La première semaine après une guerre est plus dangereuse que les dernières semaines de la guerre elle-même.
- La politique et la religion sont comme deux têtes sous un même bonnet.
- Un seul fils, c'est comme une bougie dans un courant d'air.
- L'aventure a pour moi, le même attrait qu'un réverbère pour un papillon de nuit suicidaire par une froide nuit d'hiver.
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