Amitié qui finit n'avait point commencé.
Explication de cette citation :
Cette citation signifie que si une amitié prend fin, c'est parce qu'elle n'avait pas de véritable fondement dès le départ. En effet, une amitié solide se construit sur des valeurs et des sentiments profonds qui la maintiennent malgré les difficultés. Si une amitié se termine, c'est qu'elle n'était pas réellement authentique ou sincère dès l'origine.
Cette citation est tirée de la pièce "Sentences" de l'écrivain romain Publius Syrus, où il met en scène des proverbes et des maximes prônant la sagesse et la vertu.
A propos de l'auteur
Qui est Publius Syrus ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Publius Syrus est un auteur et acteur de théâtre de l'époque romaine, connu principalement pour ses maximes et ses pièces de théâtre. Né en Syrie, il fut réduit en esclavage et emmené à Rome où il se fit remarquer par ses talents d'écrivain et de comédien. Son oeuvre, riche en citations marquantes et en enseignements, a traversé les siècles et continue d'inspirer les générations. Dans cette page, nous vous invitons à découvrir la biographie de Publius Syrus, ainsi que ses oeuvres et les citations les plus célèbres qui ont contribué à faire de lui l'un des plus grands philosophes de son époque. Découvrez comment cet esclave devenu écrivain a su traverser les épreuves de la vie et laisser derrière lui un héritage intemporel qui résonne encore aujourd'hui.
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D'autres citations de Publius Syrus
Cette citation de Publius Syrus : Amitié qui finit n'avait point commencé
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Publius Syrus.
- Personne ne sait ce qu'il est capable de faire tant qu'il n'a pas essayé.
- Qui ne sait pas rendre un service n'a pas le droit d'en demander.
- C'est le coeur et non le corps qui rend l'union inaltérable.
- Une femme vous hait, ou fait de vous son dieu, entre les deux pour elle il n'est pas de milieu.
- La fortune rend fous ceux qu'elle comble trop.
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