Ah ! que pour ton bonheur je donnerais le mien - quand même tu devrais n'en savoir jamais rien - s'il se pouvait, parfois, que de loin j'entendisse - rire un peu le bonheur né de mon sacrifice !

D'autres citations de Edmond ROSTAND

Cette citation de Edmond ROSTAND : Ah ! que pour ton bonheur je donnerais le mien - quand même tu devrais n'en savoir jamais rien - s'il se pouvait, parfois, que de loin j'entendisse - rire un peu le bonheur né de mon sacrifice ! , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Edmond ROSTAND.

• J'ignorais la douceur féminine. ma mère - ne m'a pas trouvé beau. je n'ai pas eu de soeur - plus tard, j'ai redouté l'amante à l'oeil moqueur. - je vous dois d'avoir eu, tout au moins, une amie - grâce à vous une robe a passé dans ma vie.
• Comme elles tombent bien ! - dans ce trajet si court de la branche à la terre - comme elles savent mettre une beauté dernière - et malgré leur terreur de pourrir sur le sol - veulent que cette chute ait la grâce d'un vol !
• Lors même qu'on n'est pas le chêne ou le tilleul, ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !
• Angoisse métaphysique : ou l'apaiser avec un dieu, ou la noyer dans le plaisir, ou la guérir par des pilules.
• La meilleure prière est la plus clandestine.