Explication de cette citation :
Cette citation de Jacques Sternberg exprime avec humour la remise en question de l'existence de Dieu en faisant référence au manque de communication. En effet, le téléphone est considéré comme un outil de communication majeur et le fait que Dieu n'en ait pas, soulève des doutes sur sa présence et son accessibilité. Cette réflexion fait écho à l'idée que l'Homme a toujours eu soif de preuves tangibles pour croire en quelque chose.
Cette citation est tirée du recueil de nouvelles "L'art d'accommoder les restes" publié en 1958.
A propos de l'auteur
Qui est Jacques STERNBERG ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jacques STERNBERG, poète, écrivain et scénariste belge, est une figure marquante de la littérature du XXe siècle. Ses œuvres, empreintes d'humour noir et de satire, ont su captiver les lecteurs par leur originalité et leur audace. Né en 1923 à Anvers, il a passé une grande partie de sa vie à Paris, où il a côtoyé de grands noms de la littérature. Auteur prolifique, il a écrit des romans, des nouvelles, des pièces de théâtre ainsi que des scénarios pour le cinéma et la télévision. Dans cette page, nous vous invitons à découvrir sa biographie, son œuvre et les citations les plus marquantes de ce génie de l'absurde et de l'humour noir. Plongez-vous dans l'univers unique et décalé de Jacques STERNBERG, un auteur à part qui a su marquer de son empreinte la littérature du XXe siècle.
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Cette citation de Jacques STERNBERG : Comment croire à dieu qui, depuis le temps, n'a même pas le téléphone ?
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jacques STERNBERG.
- Dans l'absolu, y avait-il vraiment une différence entre le destin d'un seul homme et celui de toute l'humanité ?
- C'est effrayant : être en vie, cela signifie avant tout se demander si oui ou non on sera encore en vie dans une heure.
- On parle toujours de rencontrer la femme de sa vie. mais le jour de son enterrement, en allant au cimetière, on peut parfaitement croiser la femme de sa mort.
- Le vrai paresseux serait peut-être celui qui aurait besoin d'un autre pour dormir à sa place.
- J'oublie tout, donc je suis.
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