Explication de cette citation :
Cette citation de Jean de La Bruyère montre que la haine et la vengeance sont des réactions instinctives résultant de la faiblesse et du manque de contrôle de soi. En effet, la colère et la vengeance nécessitent de l'énergie et des efforts, tandis que le pardon et la réconciliation demandent de la réflexion et de la maîtrise de soi. Ainsi, céder à ses émotions et se venger d'un ennemi est une forme de faiblesse, tandis que se montrer clément et pacifique requiert une force intérieure.
Cette citation est tirée des "Caractères" de La Bruyère, un recueil de pensées et de portraits satiriques sur la société et les comportements humains.
A propos de l'auteur
Qui est Jean de La Bruyère ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean de La Bruyère est un écrivain et moraliste français du XVIIe siècle, connu pour son oeuvre majeure "Les Caractères". Né en 1645 à Paris, il fut d'abord avocat avant de se consacrer pleinement à l'écriture. Dans cette page, nous allons plonger dans l'univers de cet auteur talentueux, en explorant sa biographie, son oeuvre et en mettant en lumière ses citations les plus marquantes. De son parcours de vie à son impact sur la littérature française, nous découvrirons ensemble toutes les facettes de Jean de La Bruyère.
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D'autres citations de Jean de La Bruyère
Cette citation de Jean de La Bruyère : C'est par faiblesse que l'on hait un ennemi, et que l'on songe à s'en venger ; et c'est par paresse que l'on s'apaise, et qu'on ne se venge pas
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jean de La Bruyère.
- C'est le rôle d'un sot d'être importun : un homme habile sent s'il convient ou s'il ennuie ; il sait disparaître le moment qui précède celui où il serait de trop quelque part.
- Il est bon qu'il y ait dans le Monde des biens et des maux : sans cela, on serait désespéré de quitter la vie.
- Un homme sage ni ne se laisse gouverner, ni ne cherche à gouverner les autres : il veut que la raison gouverne seule, et toujours.
- La moquerie est le langage du mépris, et l'une des manières dont il se fait le mieux entendre : elle attaque l'homme dans son dernier retranchement, qui est l'opinion qu'il a de lui-même.
- Il ne faut ni vigueur, ni jeunesse, ni santé pour être avare.
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