Explication de cette citation :
Cette citation de Jean Giono reflète la dure réalité de la perte d'un être cher. Perdre signifie une absence irrémédiable et cela transcende le temps et l'espace. Même si l'on parvient à retrouver la personne perdue, la sensation de perte persiste et nous rappelle que cette personne peut à nouveau nous échapper.
Cette citation est extraite du roman "Colline" publié en 1929 par Jean Giono où le personnage principal, Panturle, perd successivement deux êtres chers et en ressent une douleur profonde et permanente.
A propos de l'auteur
Qui est Jean GIONO ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean Giono est un écrivain français du XXe siècle, connu pour ses romans à la fois poétiques et réalistes ainsi que pour ses citations marquantes. Né en 1895 à Manosque, dans le sud de la France, il a passé une grande partie de sa vie dans sa région natale qui lui a inspiré de nombreux décors et personnages de ses oeuvres. Superbement talentueux et touche-à-tout, Giono a publié plus d'une cinquantaine de romans, nouvelles et essais au cours de sa carrière littéraire. Dans cette page, nous allons découvrir la vie de cet écrivain, son impressionnante oeuvre ainsi que quelques-unes de ses citations les plus célèbres. Accompagnons-nous à la découverte de l'univers unique de Jean Giono.
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D'autres citations de Jean GIONO
Cette citation de Jean GIONO : Perdre est une sensation définitive ; elle n'a que faire du temps. Quand on a perdu quelqu'un, on a beau le retrouver, on sait désormais qu'on peut le perdre
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jean GIONO.
- Tout le monde ment, mais personne ne dit : "je mens" ; tout le monde se réclame de la vérité, alors que dire "je mens" est la seule chose vraie que l'on puisse dire.
- Il y a une sorte de bonheur qui ne dépend ni d'autrui ni du paysage, c'est celui que j'ai toujours cherché à me procurer.
- Quoiqu'on fasse, c'est toujours le portrait de l'artiste par lui-même qu'on fait.
- La joie panique, il est impossible de la garder pour soi-même ; celui qui l'a, s'il ne la partage ne fait que la toucher et la perdre.
- La raison et la logique, c'est pour les temps ordinaires.
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