Explication de cette citation :
Cette citation de Marcel AYMÉ nous invite à être méfiant envers la poésie, qui peut être trompeuse et enjoliver la réalité. En effet, la poésie peut être utilisée comme un moyen de manipulation ou de dissimulation des véritables intentions et émotions. Cette méfiance est d'autant plus importante dans un monde où la communication est omniprésente et où il peut être difficile de discerner le vrai du faux.
Cette citation est tirée de la pièce de théâtre "La tête des autres" écrite en 1952 par Marcel AYMÉ.
A propos de l'auteur
Qui est Marcel AYMÉ ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Bienvenue sur la page dédiée à l'écrivain français Marcel Aymé (1902-1967). Considéré comme l'une des grandes figures du réalisme fantastique, Aymé a marqué la littérature française du XXe siècle avec ses oeuvres empreintes d'humour et de profondeur. Dans cette page, vous découvrirez la biographie de cet auteur prolifique ainsi que ses œuvres les plus importantes. Des citations soigneusement sélectionnées vous permettront également de plonger au cœur de l'univers de Marcel Aymé. Que vous soyez déjà familier avec son travail ou que vous souhaitiez le découvrir, vous trouverez ici une mine d'informations essentielles sur cet artiste à l'imagination débordante. Mettez-vous à l'aise et laissez-vous entraîner dans le monde magique et poétique de Marcel Aymé.
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D'autres citations de Marcel AYMÉ
Cette citation de Marcel AYMÉ : Ah ! Monsieur, on ne se méfiera jamais assez de la poésie
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Marcel AYMÉ.
- Peut-être le décalage entre les générations est-il beaucoup plus dans la forme que dans le fond.
- Une femme qui fume après l'amour prouve que son amant n'a pas su l'éteindre.
- La vie, ça finit toujours mal.
- L'argent ne se souvient de rien. Il faut le prendre quand il est là et le jeter par les fenêtres. Ce qui est salissant, c'est de le garder dans ses poches, il finit toujours par sentir mauvais.
- C'est la faiblesse de presque tous les écrivains qu'ils donneraient le meilleur d'eux-mêmes et ce qu'ils ont écrit de plus propre pour obtenir un emploi de cireur de bottes dans la politique.
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