Elle dévisagea sa soeur, puis la dépoitrina et enfin la déjamba.
Explication de cette citation :
Cette citation est tirée du roman "Zazie dans le métro" de Raymond Queneau, publié en 1959. Elle met en scène Zazie, une jeune fille de 10 ans, qui s'amuse à déshabiller sa poupée en dévisageant son visage, en enlevant son soutien-gorge et en enlevant ses jambes de poupée. Cette scène montre le côté espiègle et impertinent de Zazie, ainsi que son insouciance et son innocence face à la sexualité. Elle reflète également l'ironie et le ton décalé propre à l'écriture de Queneau.
A propos de l'auteur
Qui est Raymond Queneau ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Raymond Queneau, écrivain français du 20ème siècle, a marqué la littérature par son style unique et expérimental, faisant de lui l'une des figures majeures du mouvement littéraire de l'Oulipo. Né en 1903 à Havre en France, il a mené une vie riche et passionnante, où son amour pour les mots et les jeux de langage se sont reflétés dans ses écrits. Dans cette page, nous vous invitons à découvrir la biographie de Raymond Queneau ainsi que son œuvre, qui regorge de citations mémorables, témoignant de son génie littéraire.
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Cette citation de Raymond Queneau : Elle dévisagea sa soeur, puis la dépoitrina et enfin la déjamba
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Raymond Queneau.
- Un homard, c'est autre chose qu'un poisson ! vivre dans une carapace, autrement dit avoir ses os autour de soi, quel changement radical cela doit être dans la façon de comprendre la vie.
- Quelle belle chose, le bon sens. comme il est dit quelque part, c'est la chose au monde la mieux partagée.
- C'est marrant les cordonniers, ils arrêtent jamais de travailler, on dirait qu'ils aiment ça, et pour montrer qu'ils arrêtent jamais, ils se mettent dans une vitrine pour qu'on les admire.
- Les saisons, ça ne se discute pas.
- Toute forme de langage devrait être reconnue et libre d'exister sans ironie.
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