Explication de cette citation :
La citation d'Alphonse Karr fait référence à une tendance de la société à confondre les institutions et les personnes qui les représentent. En associant les juges à la justice et les prêtres à Dieu, on crée une confusion qui peut amener les individus à se méfier de ces entités. Ainsi, en créant une distance entre le système judiciaire et la divinité, on instaure une méfiance envers eux.
Cette citation a été tirée d'un article écrit par Alphonse Karr en 1849, dans lequel il dénonçait les injustices et la corruption dans le système judiciaire français de l'époque.
A propos de l'auteur
Qui est Alphonse Karr ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean Baptiste Alphonse Karr est un romancier et journaliste français, né à Paris d'un père allemand et d'une mère française, le 24 novembre 1808. Il fait de brillantes études à Paris et dès ses vingt ans, il se consacre à l'enseignement et devient professeur suppléant. Il abandonne très vite cette fonction pour se consacrer à sa passion, la poésie.
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D'autres citations de Alphonse Karr
Cette citation de Alphonse Karr : On fait toujours semblant de confondre les juges avec la justice, comme les prêtres avec Dieu. C'est ainsi qu'on habitue les hommes à se défier de la justice et de Dieu
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Alphonse Karr.
- Nous vivons dans un temps, où, si quelques-uns trouvent les galères à moitié chemin du pouvoir et de la fortune, il en est d'autres qui trouvent la fortune et le pouvoir à moitié chemin des galères.
- Il y a deux sortes de journaux : ceux qui approuvent et soutiennent le gouvernement quoi qu'il fasse, et ceux qui le blâment et l'attaquent quoi qu'il fasse.
- Une femme dans un salon est une fleur dans un bouquet. Chez elle, elle est tout le bouquet.
- Il en faut que quelques grelots ajoutés au bonnet de la liberté pour en faire le bonnet de la folie.
- Quelle étrange chose que la propriété, dont les hommes sont si envieux ! Quand je n'avais rien à moi, j'avais les forêts et les prairies, la mer et le ciel ; depuis que j'ai acheté cette maison et ce jardin, je n'ai plus que cette maison et ce jardin.
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