Explication de cette citation :
Cette citation de Guy BEDOS souligne avec ironie et intelligence le fait que certains journalistes ont du mal à comprendre l'humour et le prendre au sérieux. Pour eux, l'humour n'est pas une langue familière, ils ont besoin de sous-titres pour le saisir et l'interpréter.
Cette citation montre ainsi la difficulté de communiquer avec des personnes qui n'ont pas le même sens de l'humour. Elle a été prononcée lors d'une interview accordée à l'hebdomadaire allemand Stern en 2003.
A propos de l'auteur
Qui est Guy BEDOS ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Guy BEDOS est l'un des comédiens et humoristes les plus célèbres de France. Avec son talent pour la satire et la provocation, il a marqué plusieurs générations par son humour corrosif et ses prises de position engagées. Né en 1934 à Alger, il a depuis sa jeunesse baigné dans l'univers du théâtre, avec des parents artistes. Au cours de sa carrière, il a enchaîné les succès au théâtre, au cinéma et à la télévision, en écrivant et interprétant des pièces et des sketches qui sont devenus cultes. Dans cette page, nous vous invitons à découvrir la vie et l'oeuvre de Guy BEDOS, à travers sa biographie, ses oeuvres marquantes et ses citations qui reflètent son esprit mordant et rebelle. Découvrez avec nous toute la richesse et la puissance du talent de cet artiste incontournable.
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Cette citation de Guy BEDOS : Pour certains journalistes, l'humour est une langue étrangère. ils ont besoin de sous-titres
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Guy BEDOS.
- Faire un enfant dans le monde où nous vivons, c'est faire un bras d'honneur à l'apocalypse.
- Dur de vibrer pour des lendemains qui chantent quand on sait qu'on ne fera pas partie de la chorale.
- Il y a des journalistes qui ont appris leur métier à l'école hôtelière. ils posent les questions comme on passe les plats.
- L'applaudissement, c'est une convention.
- Qu'il soit noir, juif ou arabe, un type bien est un type bien et un enfoiré sera toujours un enfoiré.
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