Explication de cette citation :
Cette citation de Henry de Montherlant résume la vision de l'amour et des relations entre les sexes de l'auteur. Selon lui, l'homme est principalement motivé par le désir physique envers la femme, ce qui peut parfois être oppressant pour elle. De même, la femme éprouve plutôt de la tendresse envers l'homme, ce qui peut être étouffant pour lui.
Cette citation met en évidence les difficultés et les tensions qui peuvent exister dans les relations amoureuses. Elle est extraite de l'oeuvre de Montherlant intitulée "La Relève du Matin", où l'auteur explore la relation tumultueuse entre un homme et une femme.
A propos de l'auteur
Qui est Henry de Montherlant ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Henry de Montherlant est un écrivain français, né en 1895 et décédé en 1972. Son œuvre, à la fois controversée et admirée, a marqué la littérature du XXe siècle. À travers ses romans, ses pièces de théâtre et ses essais, il aborde des thèmes profonds et universels tels que la solitude, l'amour, la mort et la quête de soi. Dans cette page dédiée à l'œuvre de Henry de Montherlant, nous vous proposons de découvrir sa biographie, ses principales œuvres ainsi que ses citations marquantes, qui témoignent de son talent et de sa plume incisive.
Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.
D'autres citations de Henry de Montherlant
Cette citation de Henry de Montherlant : L'homme ne peut guère avoir pour la femme que du désir qui assomme la femme ; la femme ne peut guère avoir pour l'homme que de la tendresse qui assomme l'homme
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Henry de Montherlant.
- Les femmes tâtent leur chignon comme les hommes tâtent leur braguette.
- Les jeunes gens, n'ayant pas la force, simulent le cynisme, qui leur paraît preuve de force. les hommes mûrs, ayant la force, simulent l'altruisme, pour faire avaler leur force.
- Je méprise la pensée, ou plutôt je la trouve ridicule : quelque chose qui se prend au sérieux.
- Tout ce que nous donnons nous manquera un jour.
- Ne rien promettre, et donner en disant que l'on refuse.
Citations similaires :
Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Henry de Montherlant (L'homme ne peut guère avoir pour la femme que du désir qui assomme la femme ; la femme ne peut guère avoir pour l'homme que de la tendresse qui assomme l'homme. ).