Explication de cette citation :
Cette citation de Jean Guéhenno reflète l'idée que la sensibilité et la fragilité de notre cœur sont nécessaires pour vivre, mais que pour survivre dans ce monde, il faut aussi être fort et résistant. Cette idée est tirée de son œuvre "Journal des années noires" dans laquelle il raconte ses expériences pendant la Seconde Guerre mondiale et montre à quel point la dureté de l'époque a influencé son état d'esprit. A travers cette citation, Guéhenno met en lumière le conflit entre émotion et force nécessaire pour affronter les épreuves de la vie.
A propos de l'auteur
Qui est Jean Guéhenno ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Jean Guéhenno est un écrivain et essayiste français du XXe siècle, grand témoin de son époque. Né en 1890 dans les Côtes-du-Nord, il est profondément marqué par les bouleversements politiques et sociaux de son temps, notamment les deux guerres mondiales. Son parcours atypique, jalonné d'engagements politiques et de voyages à travers l'Europe, a façonné son regard sur le monde et nourri son œuvre littéraire foisonnante. Dans cette page, nous vous invitons à découvrir cet écrivain humaniste à travers sa biographie, son œuvre et une sélection de ses citations marquantes. Plongez dans l'univers de Jean Guéhenno et laissez-vous emporter par sa plume engagée et poétique.
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D'autres citations de Jean Guéhenno
Cette citation de Jean Guéhenno : On ne pourrait pas vivre si on avait tout le coeur qu'il faut. On ne vit que parce qu'on est dur
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Jean Guéhenno.
- Encore une fois, penser à soi avec abstraction des choses naturelles, c'est ne penser à rien.
- Le bonheur tue l'imagination et les gens heureux ne peuvent connaître la puissance d'un songe que la seule misère nourrit.
- Le souvenir de l'effort est toujours un souvenir heureux et l'on sourit aux anciennes misères vaincues.
- Nos manques nous servent presque autant que nos biens.
- La société qui a eu peur est comme l'homme qui a eu peur ; elle n'a plus toute sa valeur morale.
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