Explication de cette citation :
Cette citation de Louis-Ferdinand Céline, issue de son roman "Voyage au bout de la nuit", illustre sa vision pessimiste du cinéma en le comparant à un "petit salarié" que l'on peut acquérir temporairement pour se divertir, comme on le ferait avec un prostitué. Cela reflète sa critique de l'industrie cinématographique qui produit des images artificielles pour satisfaire les désirs humains et lui fait perdre le sens de la réalité. Céline souligne ainsi le danger de se laisser emporter par les rêves illusoires véhiculés par le cinéma, qui peut nous éloigner de la véritable vie.
A propos de l'auteur
Qui est Louis-Ferdinand Céline ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Ferdinand Destouches, ou Louis-Ferdinand Céline est né le 27 mai 1894 à Courbevoie. C'est un écrivain et médecin français, connu pour « voyage au bout de la nuit » en 1932.
Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.
D'autres citations de Louis-Ferdinand Céline
Cette citation de Louis-Ferdinand Céline : Le cinéma, ce nouveau petit salarié de nos rêves on peut l'acheter lui, se le procurer pour une heure ou deux, comme un prostitué
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Louis-Ferdinand Céline.
- La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit.
- La télé est dangereuse pour les hommes. Personne ne pourra empêcher maintenant la marche en avant de cette infernale machine.
- Au commencement était l'émotion.
- Un livre tout entier d'argot est plus ennuyeux qu'un rapport de la Cour des comptes.
- On perd la plus grande partie de sa jeunesse à coups de maladresse.
Citations similaires :
Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Louis-Ferdinand Céline (Le cinéma, ce nouveau petit salarié de nos rêves on peut l'acheter lui, se le procurer pour une heure ou deux, comme un prostitué.).