Explication de cette citation :
Cette citation de Rivarol souligne le fait que la femme accorde un attachement particulier à son premier amour, mais qu'elle reprend son coeur et ses sentiments pour les autres amours qui suivent. Cela peut être interprété comme une manière de dire que le premier amour a une place privilégiée et unique dans le coeur d'une femme, tandis que les amours suivantes peuvent être vues comme des expériences ou des tentatives.
Cette citation est tirée d'un essai de l'auteur intitulé "Maximes et pensées".
A propos de l'auteur
Qui est Rivarol ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Rivarol : un écrivain et philosophe français au talent inégalable Rivarol, de son vrai nom Antoine de Rivarol, est un écrivain, philosophe et linguiste français du 18ème siècle. Né en 1753 à Bagnols-sur-Cèze, il est connu pour ses œuvres littéraires et ses réflexions philosophiques qui ont marqué son époque et façonné une partie du paysage intellectuel français. Ses écrits ont également inspiré de nombreux écrivains et penseurs ultérieurs. Dans cette page, nous allons plonger dans l'univers fascinant de Rivarol en explorant sa vie, son œuvre et en mettant en lumière ses citations les plus marquantes. Accompagnez-nous dans ce voyage à travers le temps pour découvrir l'héritage intemporel de cet écrivain hors du commun.
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D'autres citations de Rivarol
Cette citation de Rivarol : La femme ne se donne qu'à son premier amour : à tous les autres, elle se reprend !
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Rivarol.
- Un bon esprit paraît souvent heureux, comme un homme bien fait paraît souvent adroit.
- L'éternité ? je m'y plairai sûrement, cela commence couché.
- Le corps politique est comme un arbre : à mesure qu'il s'élève, il a autant besoin du ciel que de la terre.
- Si la pauvreté fait gémir l'homme, il bâille dans l'opulence. quand la fortune nous exempte du travail, la nature nous accable du temps.
- En général, l'indulgence pour ceux qu'on connaît, est bien plus rare que la pitié pour ceux qu'on ne connaît pas.
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