Explication de cette citation :
La citation de Alfred Capus est tirée de sa pièce de théâtre "Monsieur Lamancha", écrite en 1908. Dans cette œuvre, le personnage principal, qui rêve de devenir écrivain, est confronté à la fois à ses désirs de reconnaissance et de succès dans le monde littéraire, ainsi qu'à sa propre vanité et ses motivations matérialistes. A travers cette citation, l'auteur semble suggérer qu'il est important d'avoir du talent et une certaine ambition pour réussir dans le milieu littéraire, mais qu'il ne faut pas être trop attaché aux vanités et aux futilités de ce milieu pour trouver le bonheur. En somme, seul l'amour de l'art et la satisfaction personnelle devraient être des motivations suffisantes pour aspirer à une carrière littéraire accomplie.
A propos de l'auteur
Qui est Alfred Capus ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Alfred Capus, écrivain et journaliste français, a marqué la scène littéraire du début du XXème siècle. Son talent d'écrivain et son sens de l'observation lui ont permis de dépeindre avec humour et finesse la société de son temps. En explorant sa biographie et en découvrant ses oeuvres, on se rend compte de l'importance de cet auteur dans l'histoire littéraire française. À travers cette page, nous allons plonger dans l'univers de Alfred Capus et découvrir ses citations les plus marquantes.
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Cette citation de Alfred Capus : Pour être heureux dans le monde littéraire, il faut avoir quelque chose et ne pas tenir à grand chose
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Alfred Capus.
- Un citoyen français a deux sortes d'ennemis également redoutables : ceux qui violent les lois et ceux qui les observent avec rigueur.
- On finit toujours par s'ennuyer quelque peu en villégiature. En une de ces heures où la paresse ne suffit plus et finit par peser sur l'esprit autant qu'un lourd travail.
- Les mots sont comme les sacs : ils prennent la forme de ce qu'on met dedans.
- L'homme n'est pas parfait et les femmes ne sont jamais aussi malheureuses qu'on croit.
- La chance, c'est la faculté de s'adapter instantanément à l'imprévu.
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