Pourvu que je ne parle ni de l'autorité, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, je puis tout imprimer librement, sous la direction, néanmoins, de deux ou trois censeurs.
Explication de cette citation :
Cette citation de Beaumarchais reflète l'une de ses convictions les plus profondes : la liberté d'expression et de pensée. Il estime qu'aucun sujet ne devrait être censuré et que chacun a le droit de s'exprimer librement, tant qu'il ne touche pas à la sensibilité des pouvoirs en place ou à des sujets polémiques.
Cette citation provient de sa lettre à M. Marron, datant de 1768, où il dénonce les censures imposées par le gouvernement de l'époque. Beaumarchais était un fervent défenseur de la liberté d'expression et cette conviction se reflète également dans ses pièces de théâtre, telles que Le Mariage de Figaro.
A propos de l'auteur
Qui est Pierre-Augustin Caron Beaumarchais ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Pierre-Augustin Caron Beaumarchais est un écrivain et homme d'affaires français du XVIIIe siècle. Son nom est associé à certaines des œuvres les plus célèbres de la littérature française, telles que Le Barbier de Séville et Le Mariage de Figaro. Mais Beaumarchais était bien plus qu'un simple auteur de théâtre. Il était également un homme d'affaires prospère, un fervent défenseur des droits de l'homme et un agent secret pour le compte du roi Louis XV. Dans cette page, nous allons explorer la vie et l'œuvre de cet homme fascinant, ainsi que ses citations les plus célèbres qui continuent à inspirer et à fasciner les lecteurs du monde entier.
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Cette citation de Pierre-Augustin Caron Beaumarchais : Pourvu que je ne parle ni de l'autorité, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, je puis tout imprimer librement, sous la direction, néanmoins, de deux ou trois censeurs
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Pierre-Augustin Caron Beaumarchais.
- On est meilleur quand on se sent pleurer. On se trouve si bon après la compassion !
- La jalousie n'est qu'un sot enfant de l'orgueil, ou c'est la maladie d'un fou.
- L'amour n'est que le roman du coeur : c'est le plaisir qui en est l'histoire.
- Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.
- Quelle rage a-t-on d'apprendre ce qu'on craint toujours de savoir !
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