Explication de cette citation :
Cette citation de l'écrivain ivoirien Ahmadou Kourouma souligne que le cours naturel du monde et des événements ne peut pas être perturbé par de petits affronts ou des insultes. Elle invite à prendre du recul et à relativiser les problèmes.
Cette phrase est extraite de son roman "En attendant le vote des bêtes sauvages" paru en 1998, dans lequel il dénonce les régimes autoritaires en Afrique. Elle peut être interprétée comme un appel à la résilience face aux difficultés et aux épreuves.
A propos de l'auteur
Qui est Ahmadou KOUROUMA ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Ahmadou Kourouma est un écrivain ivoirien, considéré comme l'une des figures majeures de la littérature africaine francophone. Né en 1927 à Boundiali, dans le nord de la Côte d'Ivoire, il a traversé un siècle plein de bouleversements politiques et sociaux qui ont profondément marqué son œuvre. Son écriture se distingue par sa puissance et sa lucidité, faisant de lui un témoin engagé de son temps. Dans cette page, nous vous invitons à découvrir sa biographie, son œuvre et quelques-unes de ses citations les plus marquantes. Plongez-vous dans l'univers captivant de cet auteur qui nous a légué un héritage littéraire riche et profondément humaniste.
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D'autres citations de Ahmadou KOUROUMA
Cette citation de Ahmadou KOUROUMA : Ce n'est pas une injure ou un affront qui empêche le soleil de se coucher
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Ahmadou KOUROUMA.
- Jamais l'eau ne manque l'ancien chemin de son cours.
- Le chasseur à l'affût, de temps en temps, interrompt la poursuite pour chiquer son tabac.
- La principale institution, dans tout gouvernement avec un parti unique, est la prison.
- Le voleur réputé paie la poule qu'il n'a pas chapardée.
- Pour tous les animistes, donner son sang à un autre, c'est lui céder une de leurs âmes, en faire un double, un autre soi-même.
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