Explication de cette citation :
Cette citation de Confucius met en avant l'importance de la connaissance de soi et des autres. Elle invite à ne pas se préoccuper de ce que les autres pensent de nous, mais plutôt à se concentrer sur notre propre connaissance et compréhension des autres. Ainsi, elle souligne l'importance de l'empathie et de la compréhension mutuelle dans les relations humaines.
Cette citation est tirée des Entretiens de Confucius, compilés par ses disciples après sa mort au Ve siècle avant J-C.
A propos de l'auteur
Qui est Confucius ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Confucius est né le 28 septembre 551 av J.-C à Zou qi est l'ancienne province de Shandong, en Chine. C'est un philosophe chinois qui a beaucoup marqué la civilisation chinoise. Il est considéré comme étant le premier éducateur de la Chine.
Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.
D'autres citations de Confucius
Cette citation de Confucius : Ne vous affligez pas de ce que les hommes ne vous connaissent pas ; affligez-vous de ne pas connaître les hommes
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Confucius.
- Plutôt que de maudire les ténèbres, allumons une chandelle, si petite soit-elle.
- Qui ne se préoccupe pas de l'avenir lointain, se condamne aux soucis immédiats.
- Est vraiment sage celui qui, sans présumer d'avance qu'on cherche à le tromper ou qu'on se méfie de lui, est capable de déjouer au moment voulu les ruses.
- Celui qui aime à apprendre est bien près du savoir.
- Quand on peut accomplir sa promesse sans manquer à la justice, il faut tenir sa parole.
Citations similaires :
Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Confucius (Ne vous affligez pas de ce que les hommes ne vous connaissent pas ; affligez-vous de ne pas connaître les hommes.).