Explication de cette citation :
Cette citation de Georges Courteline met en avant le fait que la rencontre entre la folie et la raison n'apporte rien de bénéfique à la folie, mais peut altérer la raison. Cela peut être vu comme une mise en garde contre la folie et la nécessité de maintenir un équilibre mental.
Cette citation est tirée de la pièce de théâtre "Le Gendarme est sans pitié" publiée en 1899. Dans cette comédie satirique, l'auteur dépeint avec humour et réalisme les travers de la société et de ses institutions.
A propos de l'auteur
Qui est Georges Courteline ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Georges Moinaux ou Moineau, dit Georges Courteline, est un romancier et dramaturge français, né le 25 juin 1858 à Tours, mort le 25 juin 1929 à Paris.
Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.
D'autres citations de Georges Courteline
Cette citation de Georges Courteline : Il est consolant de penser que si la folie ne gagne rien au contact de la raison, en revanche, la raison s'altère au contact de la folie
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Georges Courteline.
- Les filles ont ceci pour elles qu'elles le sont toujours un peu plus qu'on ne pensait.
- Les baisers sont bons partout où on les trouve.
- La femme ne voit jamais ce qu'on fait pour elle ; elle ne voit que ce qu'on ne fait pas.
- Il y a deux sortes de mariages : le mariage blanc et le mariage multicolore parce que chacun des deux conjoints en voit de toutes les couleurs.
- On ne saurait mieux comparer l'absurdité des demi-mesures qu'à celles des mesures absolues.
Citations similaires :
Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Georges Courteline (Il est consolant de penser que si la folie ne gagne rien au contact de la raison, en revanche, la raison s'altère au contact de la folie. ).