J'ai regardé dans le registre des maladies et n'y ai point trouvé les soucis ni les pensées tristes. Cela est fort injuste.
Explication de cette citation :
Cette citation met en évidence l'injustice de la santé mentale en comparant les soucis et les pensées tristes à des maladies qui ne sont pas répertoriées dans les registres. Elle montre que ces problèmes psychiques sont souvent ignorés ou minimisés par la société, alors qu'ils peuvent être aussi difficiles à vivre que des maladies physiques.
Cette citation provient des "Sudelbücher" (livres de notes) de Lichtenberg, un célèbre savant et écrivain allemand du 18ème siècle connu pour ses écrits satiriques et philosophiques.
A propos de l'auteur
Qui est Georg Christoph Lichtenberg ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Georg Christoph Lichtenberg est un écrivain, scientifique et philosophe allemand du XVIIIe siècle dont l'œuvre a marqué son époque et continue de fasciner les générations suivantes. Né en 1742 à Ober-Ramstadt, il a mené une vie riche et variée en tant que professeur et chercheur à l'Université de Göttingen. Son œuvre, à la fois littéraire et scientifique, lui a valu une renommée internationale, notamment grâce à ses célèbres citations toujours d'actualité. Découvrez dans cette page sa biographie, son œuvre et des citations qui témoignent de la pertinence et de la modernité de sa pensée.
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Cette citation de Georg Christoph Lichtenberg : J'ai regardé dans le registre des maladies et n'y ai point trouvé les soucis ni les pensées tristes. Cela est fort injuste
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Georg Christoph Lichtenberg.
- On reproche souvent aux grands de n'avoir pas fait tout le bien qu'ils eussent pu dispenser. Ils pourraient bien répondre : songez seulement à tout le mal que nous eussions pu faire et dont nous nous sommes abstenus.
- Un écrivain qui doit l'immortalité à une statue est indigne, même d'une statue.
- L'ivresse, comme la peinture, comporte une partie mécanique et une partie poétique ; l'amour aussi d'ailleurs.
- N'est-il pas étrange que les hommes se battent si volontiers pour la religion et vivent si peu volontiers selon ses règles ?
- Un Shakespeare, un Newton, un Franklin, etc. Pourquoi sont-ils si peu nombreux, s'il est égal à Dieu de créer un génie ou un crétin ?
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